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Bretagne, 1988.

Colette est une jeune femme (presque) comme les autres : elle a un métier dans lequel elle s’épanouie, et, depuis peu, vit un grand amour.
Mais un drame entraîne une série de bouleversements, affectifs bien sûr, mais aussi spirituels.

Car pour Colette, le chemin de la résilience passe par la révélation et l’acceptation d’une réalité qu’elle avait auparavant effleurée, mais pas encore assumée : elle est voyante.

Ce livre n’est pas inspiré d’une histoire vraie. Il EST une histoire vraie, et puise son origine dans une sorte de journal que l’auteure a tenu pendant des années.

Dotée d’un véritable talent de conteuse et d’un humour savoureux, elle a décidé de la partager pour, comme elle le dit elle-même  «  aider [ses] concitoyens avides de paranormal à en relativiser le bienfondé », mais aussi «  parce que, faisant profession de pré-voir, clair-voir et pré-dire, [elle a] le droit et le devoir de témoigner en faveur d’une vraie déontologie à opposer au vrai charlatanisme, de l’intégrité à l’escroquerie, de l’humour à la solennité, du doute à la suffisance. »

« Deux ans avant qu’il ne quitte la maison, mon père dit à ma mère que j’étais très laide. « Giovanna, fille unique d’un couple de professeurs, vit une enfance heureuse dans les hauteurs de Naples. L’année de ses douze ans, elle surprend une conversation dans laquelle son père la compare à Vittoria, une tante à la réputation maléfique. Bouleversée par ce rapprochement aussi dévalorisant qu’inattendu, Giovanna va chercher à en savoir plus sur cette femme.

En fouillant l’appartement, elle déniche de rares photos de jeunesse sur lesquelles son père se tient aux côtés d’une personne mystérieusement recouverte de feutre noir. Elle décide alors d’aller à la rencontre de cette Zia Vittoria habitant les quartiers pauvres de Naples. Dans cette partie de la ville qui lui était inconnue, l’adolescente découvre un autre univers social, une façon d’être plus spontanée. Incitée par sa tante à ouvrir les yeux sur les mensonges et les hypocrisies qui régissent la vie de ses parents, elle voit bientôt tout le vernis du monde des adultes se craqueler.

Entre grandes espérances et cuisantes désillusions, Giovanna cherche sa voie en explorant les deux visages de la ville, comme deux aspects de son identité qu’elle tente de concilier.

Winchester, 1932.

Violet Speedwell, dactylo de trente-huit ans, fait partie de ces millions de femmes restées célibataires depuis que la guerre a décimé toute une génération de fiancés potentiels. « Femme excédentaire », voilà l’étiquette qu’elle ne se résigne pas à porter, à une époque où la vie des femmes est strictement régentée.

En quittant une mère acariâtre, Violet espérait prendre son envol, mais son maigre salaire lui permet peu de plaisirs et son célibat lui attire plus de mépris que d’amis. Le jour où elle assiste à un curieux office à la cathédrale, elle est loin de se douter que c’est au sein d’un cercle de brodeuses en apparence austère – fondé par la véritable Louisa Pesel – qu’elle trouvera le soutien et la créativité qui lui manquent.

En se liant d’amitié avec l’audacieuse Gilda, Violet découvre aussi que la cathédrale abrite un tout autre cercle, masculin cette fois, dont Arthur, sonneur de cloches, semble disposé à lui dévoiler les coulisses.

À la radio, on annonce l’arrivée d’un certain Hitler à la tête de l’Allemagne.

 » Je crois que quelqu’un est en train d’agir comme s’il se prenait pour Dieu…  »

Un appel au secours au milieu de la nuit.
Une vallée coupée du monde.
Une abbaye pleine de secrets.
Une forêt mystérieuse.
Une série de meurtres épouvantables.
Une population terrifiée qui veut se faire justice.
Un corbeau qui accuse.
Une communauté au bord du chaos.
Une nouvelle enquête de Martin Servaz.
Le nouveau thriller de Bernard Minier.